[Tchakaha]Mode solo

[Dhark]

Tu quittes donc la compagnie des 2 autres. Que fais tu ?

[Tchakaha]

Je me dirige vers le temple d'Aton car je dois y voir le scribe qui m'a confié cete mission. il faut que je lui dise ce qui m'est arrivé et ce que j'ai appris. Il faut aussi que je sache ce que mes derniers espions ont pu apprendre.

[Dhark]

Pour une description relativement précise des lieux voir en post it

A cette heure ci les célébrations rituelles sont interrompues. Le culte d'Aton est un culte solaire, la nuit ne porte pour lui aucun sens .... c'est d'ailleurs, tu le sais, un des points qui font que les rites traditionnels subsitent toujours : le culte du dieu solaire n'offre aucune explication aux ténèbres qui engloutissent l'homme après sa mort.

Tu es sur la voir royale, à l'entrée ouest de l'enceinte du temple. Que fais tu ? Vers où diriges tu tes pas ?

[Tchakaha]

Y a-t-il une entrée "discrète" où l'on peut rentrer et faire demander quelqu'un en toute discrétion?
Sais-je où sont les appartements du scribe qui m'a donné la mission?

[Dhark]

A cette heure ci l'enceinte du temple est à peu près déserte. Bien qu'il n'y ait que deux entrées ( dont une sévèrement gardée ), tu n'auras aucun mal à passer inaperçu.

Le batiment principal ( le Gem Pa Aten) est à cette heure avancée encore occupé par des serviteurs chargé de son entretien, ( du moins celui de ses parties les plus profanes, l'entretien des lieux les plus sacrés étant sous la responsabilité des prètres ). Il compte une entrée principale qui se fait par le Per Hay. Tu connais également une ouverture dissimulée par laquelle il est possible de se faufiler discrètement dans la troisième cour.

Tu ignores jusqu'au nom du scribe qui t'a confié cette mission. Tu sais cependant qu'en tant que "fonctionnaire" royal, il doit loger dans le quartier central, dont à proximité du palais de pharaon et des temples d'Aton. ( c'est d'ailleurs dans cette même zone que se trouvait ton ancien "chez toi" )

[Tchakaha]

Je me faufile par l'entrée dissimulée afin d'atteindre la troisième cour. De là, j'essaies de me rendre à mes appartements où je pourrais récupérer quelques affaires et faire le point.

[Dhark]

A noter que tes appartements ne sont pas situés dans l'enceinte même du temple. Rentrer dans la cour en question ne t en rapprochera donc nullement

[Tchakaha]

Euh oui désolé j'avais mal lu.

Je me rends donc chez moi afin de récupérer quelques affaires. Je suis sur mes gardes car, même si je ne le pense pas, mes agresseurs pourraient avoir prévu une seconde tentative.
Après une courte halte afin de faire le point et de nourrir mon simulacre, je repars avec un peu d'argent, de quoi écrire et ce qui peut me servir de sceau (Si je possède un objet pouvant remplir cette fonction, une bague (quoiqu'elle est des chances d'être sur mon ancien simulacre et d'avoir brulé), un baton ornée, une carte à puce enfin quelquechose... ). Muni de ceci, je me dirige vers le port pour chercher un toit afin de reposer mon simulacre durant le reste de cette nuit et me lèverais à la première heure pour aller au palais et informer Pharaon ou son entourage.

[Dhark]

Vis à vis d'autres adversaires, tes précautions sembleraient probablement sans objet. Vis à vis de mystes, dont certains chasseurs d'Horus, tu as bien peur qu'elles ne soient même pas suffisantes.

A peine arrivé dans ton domicile, tu constates que celui ci a manifestement été visité : les papyrus et tablettes que tu pouvais avoir ont disparu, les objets fragiles et récipients sont brisés, les sacs éventrés. Ceux qui ont procédé à cette fouille ne se sont pas donnés la peine de se montrer discrets. Tu ne trouves plus trace de quelque objet personnel digne d'attention. Tu parviens néanmoins à mettre la main sur un peu de nourriture épargnée par tes visiteurs indésirables, quelques galettes de blé.

Tu t'apprètes à repartir lorsque tu entends de l'agitation à proximité : cris, bruits d'armes ....

[Tchakaha]

Je n'ai même pas pris la peine de ramasser la nourriture. Les mystes sont passés donc tout peut être dangeureux. La nourriture restante peut très bien avoir été empoisonné. Je ne prends donc rien.

Je sors et essaie de savoir d'où vient tout ce bruit. Je reste discret car s'il s'agit des mystes et qu'il ne prenne pas la peine d'être discret dans ce quartier, je ne pourrais rien faire seul. L'effet de surprise et la discrétion me seront nécessaires. Faute de pouvoir rivaliser dans un affrontement frontal, je préfère garder l'option du harcèlement d'autant plus que mon simulacre semble très bien savoir se servir d'un arc. Ce n'est certes pas mon arme préféré mais cela peut servir dans ce type d'attaques.

Pourrais tu faire un inventaire rapide: comment suis je vétu, qu'ai-je sur moi enfin toput jusqu'au nombre de flèches si je peux me permettre d'abuser de ton temps

[Dhark]

Tu prends donc le temps de détailler les possessions de ton simulacre :

- une "tenue de combat". Après plus ample observation, tu remarques qu'elle ressemble comme deux gouttes d'eaux à celle que portent les gardes du palais en temps normal ( c'est pas leur tenue d apparat quoi );
- une dague assez longue et terriblement aiguisée (ou un glaive un peu court si tu préfères l'appeler ainsi);
- un arc de fabrication soignée;
- très précisemment neuf flèches.
- quelques babioles de nature plus ou moins religieuse, notamment un talisman en cuivre en forme d'oeil d'Horus et un petit scarabée en pierre turquoise.

A l'extérieur, tu n'as aucun mal à repérer la source de ce tapage : un individu est en train de courir dans la rue, un glaive dans la main. Les yeux exercés de ton simulacre te permettent de repérer, derrière lui tapis dans l'ombre, et sur les toits de la rue alentours, des formes armées d'arcs, de glaives, de javelots. L'homme semble avoir compris que la discrétion était plus l'atout de ses ennemis que la sienne : il crie, invectice, frappe les objets à sa portée. Pas seulement les objets d'ailleurs : une des formes s'est rapprochée et tente de lui asséner un coup au flanc tandis qu'il reprend son souffle. Aussitot, son arme dessine un large mouvement, traverse la joue de son poursuivant et se retrouve enfoncée dans son crane.

[Tchakaha]

Rhha!!! Fichus égyptiens et leurs armes légères! Il faudra faire avec...

Etant donné la situation, je décide tout de suite de porté secours à cette personne. Ces poursuivants sont inmanquablement des mystes vu les méthodes: la discrétion, le nombre et la nuit.

Une attaque frontale risque d'être un suicide. Il me faut rester discret mais il faut que je désorganise leur chasse pour que la proie puisse s'en sortir. Il faut frapper fort sur plusieurs personnes en même temps et sans se montrer. Je décide donc de lancer une projection brutale sur l'un de leurs flancs en ciblant deux personnes, de préférences des archers. Cela devrait les gêner suffisament pour qu'il ne couvre plus leur zone et peut être ouvrir une brèche. Espérons qu'ils n'aient pas d'orichalque...

[Dhark]

Ton sort réussit, faisant chuter du toit deux des chasseurs. Le fugitif, alerté par le bruit, tourne la tête vers la brèche. A ta grande surprise, au lieu de profiter de l'occasion et de s'enfuir, il se rue vers les deux hommes encore au sol et les frappe à plusieurs reprises de son arme. Les autres poursuivants semblent avoir perdu de leur belle organisation, mais trouvent néanmoins la présence d'esprit de lacher sur lui une volée de flèches, dont une touche le fugitif à l'épaule. Il pousse un rugissement de rage et se précipite vers son adversaire le plus proche.

Les chasseurs et leur proie sont maintenant à quelques mètres de toi seulement. Les chasseurs semblent batis sur le même modèle que les autres que tu as pu fréquenter cette nuit ( notamment ton actuel simulacre ). Trois seulement sont encore envie, ils ont dégainé leurs glaives pour parer à l'assaut de leur proie blessée. Le fugitif lui est vêtu d'une tunique poussiéreuse et déchirée, constellée çà et là de tâches de sang. Son visage est pareil à celui d'un lion, des griffes prolongent ses doigts, et une violente odeur de phosphore émane de lui.... une manticore.

[Tchakaha]

Je me précipite toutes métamorphes dehors le glaive à la main pour aider ce Néphilim et assouvir ma soif de vengeance et de justice. Si jamais l'un de nous deux se retrouve très blessé, j'userai de ma magie et lancerai un mange plaie pour le maintenir en vie.

[Dhark]

Les chasseurs sont en position d'attente, deux sont déjà aux prises avec la manticore lorsque tu jaillis de la maison. Le troisième te voit accourir vers lui, mais semble avoir un instant d'hésitation en voyant ton visage ( encore peu marqué par les métamorphoses soit dit en passant, ton essence s'étant encore assez peu "mélée" à celle de ton hote). Tu profites de son hésitation, ton coup lui tranche le bras d'arme au niveau du coude et il s'effondre à terre. Surpris par son cri de douleur, un des deux autres tourne légèrement le regard dans ta direction. La manticore profite de ce fugitif instant d'inattention pour se ruer sur lui au corps à corps. Sa bouche déformée par des crocs léonins se referme sur la gotge de son adversaire qui pousse un gargouillement d'agonie.

Le troisième et dernier chasseur a quant à lui, profité de la charge de la manticore pour lui placer un rapide coup de son glaive au niveau de l'épaule. Voyant que la situation a changé du tout au tout, il ne poursuit néanmoins pas son assaut qui serait pourtant probablement fatal au moins au simulacre de son adversaire. Lachant son arme, il s agrippe à la paroi d'une des maisons bordant la rue, et en un mouvement souple, s'apprète à regagner les toits.