[Gogo]Ombre et lumière

les Chroniques de l'Apocalypse en PBMs...

Modérateurs : Ethaniael, Dhark

Message par gogo » 20 Avr 2005 12:15

Puisque vous semblez attendre une réponse, à moins que vous n'ayez pas envie de me faire jouer, voila ma réponse :

.......

Je ne fais rien, j'attends de reprendre conscience
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Message par Dhark » 21 Avr 2005 02:14

Tu sens maintenant une sorte de brulure continue, une érosion graduelle de tes kas éléments. Le contact avec l'esprit de ton simulacre n'est pas totalement rompu pourtant. Tu as quelques visions fugitives : une porte qui s'ouvre, le scribe qui se trouve derrière. Tu perçois les paroles suivantes :

-Excusez-moi maitre de vous déranger, j'ai vu que vous aviez renvoyé les apprentis, je me demandais si vous aviez encore besoin de moi ou si je pouvais disposer?

Le reste se perd dans un brouhaha inintelligible.
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Message par gogo » 21 Avr 2005 12:24

Maudit humain ! Non seulement il connaissait mon existence, non seulement il avait résisté, mais il disposait aussi d'une arme contre moi ! Le métal maudit me dissolvait lentement, et dans toute ma douleur, je ne pensais qu'à une chose : m'en prémunir.

Le soleil ! C'était peut-être une solution ! J'essayais de mon possible de m'enfoncer au coeur de son Ka-sleil, espérant que celui-ci me protégerait du néfaste métal.

Ben voilà, j'essaye de m'enfoncer dans son soleil, sans forcément retourner dans la 'cage', et si je pêux faire des dégats, j'en fais, mais c'est secondaire
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Message par Dhark » 21 Avr 2005 12:27

Tu t'enfonces, pus profondemment à l'abri et tu gagnes un point de la conscience de ton simulacre assez particulier où tu te sens à l'aise. A l'abri de l'orichalque, tu panses tes plaies. Quant à effectuer des dommages quelconques, a du ka-soleil ce n'est pas à ta portée, avec les moyens réduits dont tu disposes en tous cas.
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Message par gogo » 21 Avr 2005 20:17

Rien ne change.
Remarquez le ridicule de ma situation depuis mon réveil : je m'étais éveillée pour mieux disparaitre, j'étais rvenue pour me renfoncer d'autant plus profondément, blessée de surplus par le métal honni.
Ainsi je restai quelques instants, seule avec ma peine, attendant que quelque chose se passe, le redoutant de même. Il me fallait agir, bouger, faire je ne sais quoi, mais j'en étais incapable : que pouvais-je faire contre ce simulacre au coeur de son noyau ?
J'essayai malgré tout de percevoir le monde par ses sens, car j'avais perdu tout désir de controler ce corps tenant de l'orichalque (je n'enaurais même pas été capable).

J'essaye de percevoir ce qu'il voit et entend, ou de chopper ses pensées (pour moi, seul le Ka-Soleil peut contenir les pensées des humains s'ils en ont).
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Message par Dhark » 22 Avr 2005 19:00

Tu perçois peu de choses à part l'écoulement inlassable du temps. Chaque tentative que tu effectues pour récupérer le controle des perceptions de ton simulacre t'expose au contact douloureyx de l'orichalque qu'il porter, ce qui meurtrit ton pentacle et t'envoie chaque fois plus profondemment en Ombre. Les heures s'égrènent inlassablement, puis tout à coup la situation change brusquement. La prison qui t'enserre semble s'agiter, tu as une impression de mouvement et tu perçois autour de toi une clarté aveuglante.

Tu as l'impression d'être aspiré par un tourbillon. La seconde d'après tu recouvres une forme de percepton sensorielle. Ton environnement est des lus étranges : tu es dans une plaine malodorante, où s'étendent à perte de vue des amocellements compacts de cadavres putréfiés. Tu sens une présence à proximité.
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Message par gogo » 22 Avr 2005 20:02

Décidément, je ne cessais de jouer de chance : après un impromptu mais douloureux retur à la réalité, j'avais à présent... Eh bien, je ne pouvais pas le dire. Autour de moi, mort et désolation.
Cadre enchanteur, mais ce n'était malencontreusement pas à ce type d'enchantement que tendait ma nature.Quelques escondes pour m'habituer aux lieux, à mes nouveaux sens.
A mon nouveau corps ?
Il semblait bien que j'en posédais un, mais j'aurais été incapable de dire s'il s'agissait du même corps qu'auparavant, ou s'il s'agissait d'une illusion.

Quelqu'un d'autre se trouvait en ce lieu.
Immédiatement, je me braquais : après tout ce qui venait de m'arriver, rien de bon ne pouvait se produire. Je cherchais ce qui pouvait être un adversaire sans même cacher mon hostilité.

Je regarde autour de moi, je cherche qui peut être là, si je vois rien, et mêmee si je vois quelque chose, vision-ka si j'y arrive, prêt à lancer un sort même si je sais bien qu'il est possibe que ça plante.
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Message par Dhark » 23 Avr 2005 03:22

La situation est réélement étrange.

La vision ka tout d'abord : elle te révèle très peu de choses. Les champs magiques semblent absents de cet endroit. Tu perçois seulement un grand vide.

Ton corps ensuite : tu es bien incapable d'identifier clairement à quel simulacre il peut bien apartenir. Tu constates en revanche que tes métamorphoses sont particulièrement visibles.

Ton observateur enfin : après avoir tourné la tête en tous sens pour dissiper cette impression agaçante, tu vois, à quelques mètres derrière toi, un individu. Il te semble étrange qu'il ait pu échapper aussi longtemps à ta perception d'autant plus que tu es presque sur d'avoir déjà regardé dans sa direction. Il est vêtu d'une robe blanche qui semble tachée d'un liquide rouge dont tu es incapable d'identifier la nature exacte. Il a une quarantaine d'années, ses traits sont tirés et arrogants. Il te dévisage avec un air narquois et déplaisant.[/i]
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Message par gogo » 23 Avr 2005 18:34

Mais où donc pouvais-je être : mes métamorphes mis à jour me criaient qu'il s'agissait d'une sorte d'akasha, mais comment y serais-je entrée ? Et cet inconnu, qui est-il pour s'amuser à se jouer de moi ?
Je le détaillais plus précisément, apprenant à haïr chacun des traits que je lui trouvais : de son rictus à son regard narquois, de sa simple présence auparavant dissimulée, il éveillait en moiun dégoût, une haine sans pareils.
Et cette tâche rouge ? Du sang, du vin, qui savaitce dont il pouvait s'agir ? Il me fallait lui parler : l'action résulterait de cette discussion.

Je m'adresse à l'inconnu : j'essaie tout d'abord un langage que mon corps connait, et si ça ne produit rien, je lui parlerait en énochéen, en profitant pour le mater en vision-ka parce qu'après tout, je le vaux bien. Faudra qu'on se voit sous MSn pour la discussion, à moins que ça n'aille vite. Mes premières questions : où sommes-nous, qui est-il pourquoi suis-je là, que veut-il (cette question en premier, tout compte fait), etc... Bref, des questions sur sa nature, l'endroit où on est et la raison de ma présence ici, son potentiel rapport à l'humain qui m'a blessé
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Message par Dhark » 25 Avr 2005 22:20

L'homme te scrute un moment, puis répond :
-Etrange que vous soyez ici. J'ignorais que nous étions à ce point liés .

-J'aimerais savoir quel est cet ici, je n'ai jamais rien vu de tel. Vous êtes lui, n'est-ce pas ? La personne que j'habite ?

- Je suis "lui" oui, la personne qui détient ton pouvoir, Déchu. Et quant à ce lieu .... Pourquoi ne cherchez vous pas à le découvrir par vous même ?

Je passe en Vision-Ka, si je ne le suis pas déjà, afin d'identifier les alentours.

Encore une fois, une sorte de gran vide,d' où émane une menace oppressante.

-Étrange lieu que celui-ci... Je serais 'en' vous ?
-J'ignorais que telle chose fut possible

Comme il ne répondait pas, je continuais : - Si ma supposition est correcte, je crains que vous n'ayez d'étranges goûts. Destruction, mort, j'aurais cru trouver en tel lieu bien plus de vie. Bin évidemment, s'il ne sagit que d'un reflet de votre être...

L'homme a un rire narquois : - En moi ? Oui en effet , mais a cela vous devriez etre habitué, condamné que vous êtes à vous appuyer sur les hommes pour survivre. Quand à ce lieu, il est le signe de l'asservissement de votre peuple au Titan du Midi et à ses suivants.

- Il semblerait qu'il y ait unléger problème : je n'ai jamais accepté, voire toléré le moindre assouvissement, et bien que ma situation actuelle ne soit en rien glorieuse, ce n'est pas maintenant que je vais en accepter.

L'homme éclate de rire : - Asservi vous l'êes depuis que le métal sacré est devenu notre arme et- que prométhée nous montra la voie à suivre.

-Mmm, je me le demande. Sommes--nous asservis alors que la guerre n'a pas encore été achevée ? Mais trève de querelles inutiles, je ne pense pas qu'essayer de vous annihiler en ce lieu relève de la plus grande intelligence. Il me semble avoir été absente un long moment, bien que je ne sios sûre de rien. Pourriez-vous m'éclairer sur la situation actuelle, que nous puissions faire en sorte que cette cohabitation devienne plus agréable ?

-Agréable ? Cette cohabitation comme vous l'appelez n'a pas à l'être. Etions nous bien traités quand nous étions vos prisonniers en Atlantys ? Vos pouvoirs sont les miens , et vous êtes pour toujours mon prisonnier.


-C'est assez génant, car voyez-vous, je n'apprécie pas trop l'idée d'être prisonnière. Maislà n'est pas la question : il semble qu'actuellement je le sois, et je ne demande qu'un peu d'informations. Sachez de plus que, comme vous l'avez mentionné, nous sommes lié. Qui peut savoir jusqu'à quel degré ?
un léger sourire apparaissant sur mon visage à la fin de cette réplique


- Votre sapience coule dans mes veines, vos pouvoirs seront bientot miens. A quel point nous sommes liés ? Voyez -dit il désignant le paysage - vous partagez même mes rêves.
Il ajoute plus bas : - ses reves ...

-Ne seriez-vous donc vous aussi qu'un usurpateur, quelqu'un qui habite ce corps sans en être le véritable hôte ? Vous êtes lui tel que vous l'aviez dit, sans être son 'je' ? Fort amusant, et dire que vous avez failli m'apitoyer avec vos histoires d'emprisonnement en Atlantys.

- Vous ignorez tout, tout de ce que vous voyez et tout de ce qui m'unit à lui. Ce corps est bien le mien , je suis né humain et je suis devenu bien plus grace à ses enseignements ety la sapience que j'ai bu aux veines des votres

J'affichais toujours un air narquois : -Qu'êtes-vous devenus alors ? Un monstre sans nom, sans appartenance ?

-Un suivant de prométhée, et nombreux sont ceux qui partaganet son enseignement. Bientot tous les votres seront les esclaves de notre volonté et lemoyen de notre pouvoir sur le reste de l'humanité.

-Écoutez-vous donc, pitoyable êter que vous êtes. Vous nous condamnez pour avoir fait de vous des esclaves, et vous apprêtez pourtant à reprendre ce flambeau. Il existe une seule différence : Nous n'agissions que par nécessité, mais vous n'êtes que les victimes d'une ambition démesurée.

- Ce qui nous motive c'est la vengeance, ce qui nous legitime c'est l'enseignement du porteur du feu, ce qui nous arme c'est la sapience des votres. L'Achron et les quatres autres fleuves mystiques regagneront bientot la surface de la Terre, et le delta des fleuves de la sapience irriguera le monde, tandis que vottre peuplesera les esclaves de notre nouvelle ere et du métal sacré qui est notre heritage.

- Vous ne semblez pas douter. Vous croyez-vous donc si puissant ? Parce que vous avez actuellement pouvoir sur moi, de par voter métal honni ? Vous comptez profiter de ma sapience, de mon savoir ? Comptez-vous vraiment en profiter ?
Et je me prépare à lancer un habitus, par principe, pour voir si ça marche, même si je sais qu'il y a peu de chance

- Elle irrigue dores et deja mes veines, votre sapience imprègne ma chair et son gout est delectable.
Le probleme de l'usage de la magie risque de venir de l'absence de champs magiques.

Je riais fort face à sa dernière réplique :- Et si par hasard, vous veniez à mourir en ce lieu, fis-je en m'avançant , tout en cherchant du regard un objet qui put faire office d'arme

- En ce lieu vous ne pouvez me tuer, en ce lieu est la puissance de la chapelle du Midi, son triomphe à venir.

-Mais ce lieu n'est qu'un rêve, une illusion forgée par une quelconque croyance. Est-ce là la 'puissance' de la Chapelle du Midi ? Une simple illusion ?

- Vous ignorez tout de la véritable puissance. Ce lieu est une promesse, ce lieu est un don, ce lieu est le trone du Midi.

Je riais d'autant plus. -Regardez-le, votre trone, regardez le désastre qui s'étend autour de vous, voyez la vérité. Vous n'êtes que mort et destruction, désolation et pourriture, croyez-vous vraiment à l force d'un tel lieu ? Et je commence à essayer de lutter, de la même manière qu'auparavant, pour reprendre le contrôle du corps, même si je m'arrêterais avant d'en prndre le contrôle pour ne pas subir la brulure de l'orichalque

Le controle ? Le problème esentiel c'est qu' à l'heure actuelle ton contact avec ce simulacre est rompu, probablement a cause de ta presence dans ce plan subtil.

Mmm, mince alors

- La puissance de ce lieu est au delà de la sutpide sensiblerie que vous prétendez afficher, vous qui êtes le descendant d'un peuple de tyrans. Regardez, contemplez ce que dissimule cette chair à l'abandon ! Il te désigne un point derriere toi .

Je tourne le regard, et observe

Un tas de cadavres décomposés et répugnant est en train de se soulever, comme si quelque chose était en train d'émerger lentement vers la surface. Le spectacle est obscène et répugant, des membres se déchirent et la puanteur du lieu devient ecoeurante.

Commentaire appréciateur de la grandeur de ce à quoi j'assiste : 'un véritable chef d'oeuvre qu'un maudit ne renierait pas'

Les cadavres se soulèvent encore et le tas qu'ils forment atteint son point de tension maximum, les cadavres dégringolent le long de l'élévation. Peu à peu émerge du tas en décomposition un objet doré.

Je m'approche lentement de l'objet, intriguée.

L'objet continue à emerger. C'est un sarcophage massif, impressionant , tout en métal doré . De l' or ? probablement. Il émane une puissance incroyable de ce sarcophage, autour de toi les visages morts des cadavres semblent pris de convuslion , formant des rictus macabres.... ou des expressions semblables à des rires.

Un sarcophage doré ? J'assistais manifestement au songe d'un esprit fou qui trouve la granderu au beau milieu d'un champ de mort. Tout compte fait, en pensant à mes propres souvenirs, je me dis que d'autres étaient pareils.

La symbolique dominante n'est pas tout à fait celle de la mort à vrai dire. Il semble y avoir un message différent dans ce que tu vois.

Ben niveau symbolique, on assiste un peu à une espèce de renaisance par delaà la mort... à part ça :/ ça m'évoque rien

Pas non plus renaissance . Le sarcophage reste clos . La symbolique dominante est celle du demembrement, les corps etendus sont tous amputes qui d' un bras qui d une jambe

ça évoque pas grand chose, niveau symbolique, le démembrement :/

la séparation interne de l individu , un phenomene profondemment contre nature vu que individu signifie qui ne peut etre divisé

Je m'approche du sarcophage et j'essaie de l'ouvrir

A peine as tu posé les doigts sur le sarcophage que la chair qui les recouvre commencent à grésiller et à fondre, la douleurest insupportable . Un rire dément éclate derrière toi :
-Contemple Déchu , la fin du règne des tiens !
Un rire plus lourd , plus terrifiant semble provenir de l'intérieur du sarcophage.

-Alors comme ça on rigole, hein ? Vou voyez, d'habitude, j'aime les décisions posées, réfléchies, intelligentes, prises dans le calme, ne laissant aucune part à l'impatience. D'habitude.
Et je prends par la jambe un cadavre pour en frapper la sarcophage et le faire tomber

Le sarcophage reste imuable sous tes coups qui ne semblent pas l'ébranler. Le cadavre se disloque sur son couvercle. Le rire devient encore plus lourd et plus inquiétant. Ta chair se décompose peu à peu sur tes bras et des morvceaux ciommencent à toucher le sol.

J'arrête de frapper le sarcophage, me retourne, et approche l'autre (s'i est toujours là), une jambe trouvée par terre dans la main.

L'état général de ton corps se dégrade de plus en plus, tu parviens neamoins a venir au contact de l'individu, dont le rire narquois est masqué par celui qui vient du sarcophage

Je souris : -Même si je vais me dissoudre entièrment, j'aurais au moins eu le plaisir de t'en mettre une. Et je frappe

Ton coup le touche au visage, faisant eclater son nez. Il tombe au sol commeun pantin disloqué , et tu le rejoins bientot au milieu des cadavres.

Et pendant que je disparais, j'essaie de garder une certaine unité.
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Message par Dhark » 02 Mai 2005 14:52

De retour parmi les ombres ...;

Des impressions diffuses recommencent à affluer ... deux hommes portant un cadavre lardé de flèches ... un crochet d'embaumeur dans la main de ton simulacre ....
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Message par gogo » 02 Mai 2005 20:45

De mieux en mieux : il semblait que j'allais reprendre conscience pour asiser à un sombre acte de boucherie sur un corps, ô joie. Encore et toujours la joie du retour se mêlant au dégoût de ce que je découvrais, je commençais à m'y habituer.
Je n'essayais pas de lutter, me méfiant du métal honni que pourrait encore porter l'homme, me méfiant de sa puissance, maudit soit-il !
Mais je restais, j'observais, tapis au fond de son âme, de son coeur, j'attendais, comme le serpent que j'étais, prêt à bondir et planter es crocs en son soleil.

j'attends, je tate le terrain, essaye de sentir s'il porte toujurs de l'orichalque, et si non... j'attends encore de savoir où i est et ce qu'il doit faire pour êtr prêt à prendre la relève lorsque je sortirai. ça fit plaisir de reposter :)
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Message par Dhark » 04 Mai 2005 09:19

L'orichalque est toujours présent, il te tient en respect comme un fouet le fait pour un fauve.

Une chose étrange néanmoins .... l'homme sur la table a une peau étrange à regarder, comme recouverte par endroits de petites écailles rouges.
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Message par gogo » 04 Mai 2005 23:56

En voilà un autre qui n'avait pas de chance. Je ne savais pas quel était son problème, la raison pour laquelle il ne pouvait bouger, mais je savais quel problème il allait rencontrer...
Bah, je fais rien, mais au moment critique ou il approchera son crochet du corps, j'essaies de le déranger suffisamment pour qu'il le lâche ou pour faire tomber le truc en orichalque : le neph en face est pitêtre ma seule chance :/
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Message par Dhark » 11 Mai 2005 10:23

Tu sens ton emprise sur le simulacre plus aisée. Un doute latent, une inquiétude inattendue semblenet le ronger. Tapi dans son esprit, tu le perturbes suffisamment pour que ses mains se mettent à trembler vigoureusement, laissant tomber le crochet sur le corps. Ton hote réagit avec violence, marmonnant ses formules rituellles. Tu parviens à prendre à nouveau le controle de ses sens, le réléguant à l'arriere de son propre esprit, mais le combat est encore loin d'être gagné et tu crains déjà que l'orichalque qu'il porte ne soit un atout de poids s'il se prolonge trop.

La situation dure ainsi quelques secondes qui semblent des heures, puis un élément nouveau se produit. Tu entends un bruit de pas etouffé juste derrière toi, et l'instant d'après une douleur violente traverse ton crane. Tu sens tes jambes se dérober et ton corps s'effondrer.

Lorsque tu reprends conscience, tu aperçois tout d'abord un feu qui s'élève vivement vers le ciel .... un batiment en train de bruler à faible distance. Ton crane est encore douloureux, un peu de sang s'écoule sur ton visage, tu l'essuies d'une main distraite .... puis tu prends conscience que l'implacable présence qui t'écrase depuis tant de temps a disparu. L'esprit de l'homme est relégué définitivement en arrière plan. Tu as enfin pris le controle.

A faible distance de toi, tu aperçois un homme ventripotent en habit de scribe qui scrute le brasier. Tu te souviens l'avoir déjà vu auparavant. Son visage se tourne vers toi et il t'examine avec attention.

Rends toi sur le thread Au coin du feu des qu'il sera ouvert
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