par Dhark » 25 Avr 2005 22:20
L'homme te scrute un moment, puis répond :
-Etrange que vous soyez ici. J'ignorais que nous étions à ce point liés .
-J'aimerais savoir quel est cet ici, je n'ai jamais rien vu de tel. Vous êtes lui, n'est-ce pas ? La personne que j'habite ?
- Je suis "lui" oui, la personne qui détient ton pouvoir, Déchu. Et quant à ce lieu .... Pourquoi ne cherchez vous pas à le découvrir par vous même ?
Je passe en Vision-Ka, si je ne le suis pas déjà, afin d'identifier les alentours.
Encore une fois, une sorte de gran vide,d' où émane une menace oppressante.
-Étrange lieu que celui-ci... Je serais 'en' vous ?
-J'ignorais que telle chose fut possible
Comme il ne répondait pas, je continuais : - Si ma supposition est correcte, je crains que vous n'ayez d'étranges goûts. Destruction, mort, j'aurais cru trouver en tel lieu bien plus de vie. Bin évidemment, s'il ne sagit que d'un reflet de votre être...
L'homme a un rire narquois : - En moi ? Oui en effet , mais a cela vous devriez etre habitué, condamné que vous êtes à vous appuyer sur les hommes pour survivre. Quand à ce lieu, il est le signe de l'asservissement de votre peuple au Titan du Midi et à ses suivants.
- Il semblerait qu'il y ait unléger problème : je n'ai jamais accepté, voire toléré le moindre assouvissement, et bien que ma situation actuelle ne soit en rien glorieuse, ce n'est pas maintenant que je vais en accepter.
L'homme éclate de rire : - Asservi vous l'êes depuis que le métal sacré est devenu notre arme et- que prométhée nous montra la voie à suivre.
-Mmm, je me le demande. Sommes--nous asservis alors que la guerre n'a pas encore été achevée ? Mais trève de querelles inutiles, je ne pense pas qu'essayer de vous annihiler en ce lieu relève de la plus grande intelligence. Il me semble avoir été absente un long moment, bien que je ne sios sûre de rien. Pourriez-vous m'éclairer sur la situation actuelle, que nous puissions faire en sorte que cette cohabitation devienne plus agréable ?
-Agréable ? Cette cohabitation comme vous l'appelez n'a pas à l'être. Etions nous bien traités quand nous étions vos prisonniers en Atlantys ? Vos pouvoirs sont les miens , et vous êtes pour toujours mon prisonnier.
-C'est assez génant, car voyez-vous, je n'apprécie pas trop l'idée d'être prisonnière. Maislà n'est pas la question : il semble qu'actuellement je le sois, et je ne demande qu'un peu d'informations. Sachez de plus que, comme vous l'avez mentionné, nous sommes lié. Qui peut savoir jusqu'à quel degré ?
un léger sourire apparaissant sur mon visage à la fin de cette réplique
- Votre sapience coule dans mes veines, vos pouvoirs seront bientot miens. A quel point nous sommes liés ? Voyez -dit il désignant le paysage - vous partagez même mes rêves. Il ajoute plus bas : - ses reves ...
-Ne seriez-vous donc vous aussi qu'un usurpateur, quelqu'un qui habite ce corps sans en être le véritable hôte ? Vous êtes lui tel que vous l'aviez dit, sans être son 'je' ? Fort amusant, et dire que vous avez failli m'apitoyer avec vos histoires d'emprisonnement en Atlantys.
- Vous ignorez tout, tout de ce que vous voyez et tout de ce qui m'unit à lui. Ce corps est bien le mien , je suis né humain et je suis devenu bien plus grace à ses enseignements ety la sapience que j'ai bu aux veines des votres
J'affichais toujours un air narquois : -Qu'êtes-vous devenus alors ? Un monstre sans nom, sans appartenance ?
-Un suivant de prométhée, et nombreux sont ceux qui partaganet son enseignement. Bientot tous les votres seront les esclaves de notre volonté et lemoyen de notre pouvoir sur le reste de l'humanité.
-Écoutez-vous donc, pitoyable êter que vous êtes. Vous nous condamnez pour avoir fait de vous des esclaves, et vous apprêtez pourtant à reprendre ce flambeau. Il existe une seule différence : Nous n'agissions que par nécessité, mais vous n'êtes que les victimes d'une ambition démesurée.
- Ce qui nous motive c'est la vengeance, ce qui nous legitime c'est l'enseignement du porteur du feu, ce qui nous arme c'est la sapience des votres. L'Achron et les quatres autres fleuves mystiques regagneront bientot la surface de la Terre, et le delta des fleuves de la sapience irriguera le monde, tandis que vottre peuplesera les esclaves de notre nouvelle ere et du métal sacré qui est notre heritage.
- Vous ne semblez pas douter. Vous croyez-vous donc si puissant ? Parce que vous avez actuellement pouvoir sur moi, de par voter métal honni ? Vous comptez profiter de ma sapience, de mon savoir ? Comptez-vous vraiment en profiter ?
Et je me prépare à lancer un habitus, par principe, pour voir si ça marche, même si je sais qu'il y a peu de chance
- Elle irrigue dores et deja mes veines, votre sapience imprègne ma chair et son gout est delectable.
Le probleme de l'usage de la magie risque de venir de l'absence de champs magiques.
Je riais fort face à sa dernière réplique :- Et si par hasard, vous veniez à mourir en ce lieu, fis-je en m'avançant , tout en cherchant du regard un objet qui put faire office d'arme
- En ce lieu vous ne pouvez me tuer, en ce lieu est la puissance de la chapelle du Midi, son triomphe à venir.
-Mais ce lieu n'est qu'un rêve, une illusion forgée par une quelconque croyance. Est-ce là la 'puissance' de la Chapelle du Midi ? Une simple illusion ?
- Vous ignorez tout de la véritable puissance. Ce lieu est une promesse, ce lieu est un don, ce lieu est le trone du Midi.
Je riais d'autant plus. -Regardez-le, votre trone, regardez le désastre qui s'étend autour de vous, voyez la vérité. Vous n'êtes que mort et destruction, désolation et pourriture, croyez-vous vraiment à l force d'un tel lieu ? Et je commence à essayer de lutter, de la même manière qu'auparavant, pour reprendre le contrôle du corps, même si je m'arrêterais avant d'en prndre le contrôle pour ne pas subir la brulure de l'orichalque
Le controle ? Le problème esentiel c'est qu' à l'heure actuelle ton contact avec ce simulacre est rompu, probablement a cause de ta presence dans ce plan subtil.
Mmm, mince alors
- La puissance de ce lieu est au delà de la sutpide sensiblerie que vous prétendez afficher, vous qui êtes le descendant d'un peuple de tyrans. Regardez, contemplez ce que dissimule cette chair à l'abandon ! Il te désigne un point derriere toi .
Je tourne le regard, et observe
Un tas de cadavres décomposés et répugnant est en train de se soulever, comme si quelque chose était en train d'émerger lentement vers la surface. Le spectacle est obscène et répugant, des membres se déchirent et la puanteur du lieu devient ecoeurante.
Commentaire appréciateur de la grandeur de ce à quoi j'assiste : 'un véritable chef d'oeuvre qu'un maudit ne renierait pas'
Les cadavres se soulèvent encore et le tas qu'ils forment atteint son point de tension maximum, les cadavres dégringolent le long de l'élévation. Peu à peu émerge du tas en décomposition un objet doré.
Je m'approche lentement de l'objet, intriguée.
L'objet continue à emerger. C'est un sarcophage massif, impressionant , tout en métal doré . De l' or ? probablement. Il émane une puissance incroyable de ce sarcophage, autour de toi les visages morts des cadavres semblent pris de convuslion , formant des rictus macabres.... ou des expressions semblables à des rires.
Un sarcophage doré ? J'assistais manifestement au songe d'un esprit fou qui trouve la granderu au beau milieu d'un champ de mort. Tout compte fait, en pensant à mes propres souvenirs, je me dis que d'autres étaient pareils.
La symbolique dominante n'est pas tout à fait celle de la mort à vrai dire. Il semble y avoir un message différent dans ce que tu vois.
Ben niveau symbolique, on assiste un peu à une espèce de renaisance par delaà la mort... à part ça :/ ça m'évoque rien
Pas non plus renaissance . Le sarcophage reste clos . La symbolique dominante est celle du demembrement, les corps etendus sont tous amputes qui d' un bras qui d une jambe
ça évoque pas grand chose, niveau symbolique, le démembrement :/
la séparation interne de l individu , un phenomene profondemment contre nature vu que individu signifie qui ne peut etre divisé
Je m'approche du sarcophage et j'essaie de l'ouvrir
A peine as tu posé les doigts sur le sarcophage que la chair qui les recouvre commencent à grésiller et à fondre, la douleurest insupportable . Un rire dément éclate derrière toi :
-Contemple Déchu , la fin du règne des tiens !
Un rire plus lourd , plus terrifiant semble provenir de l'intérieur du sarcophage.
-Alors comme ça on rigole, hein ? Vou voyez, d'habitude, j'aime les décisions posées, réfléchies, intelligentes, prises dans le calme, ne laissant aucune part à l'impatience. D'habitude.
Et je prends par la jambe un cadavre pour en frapper la sarcophage et le faire tomber
Le sarcophage reste imuable sous tes coups qui ne semblent pas l'ébranler. Le cadavre se disloque sur son couvercle. Le rire devient encore plus lourd et plus inquiétant. Ta chair se décompose peu à peu sur tes bras et des morvceaux ciommencent à toucher le sol.
J'arrête de frapper le sarcophage, me retourne, et approche l'autre (s'i est toujours là), une jambe trouvée par terre dans la main.
L'état général de ton corps se dégrade de plus en plus, tu parviens neamoins a venir au contact de l'individu, dont le rire narquois est masqué par celui qui vient du sarcophage
Je souris : -Même si je vais me dissoudre entièrment, j'aurais au moins eu le plaisir de t'en mettre une. Et je frappe
Ton coup le touche au visage, faisant eclater son nez. Il tombe au sol commeun pantin disloqué , et tu le rejoins bientot au milieu des cadavres.
Et pendant que je disparais, j'essaie de garder une certaine unité.